Lost ... seule ...
Pour la première fois, je me suis identifiée fortement à l'héroine d'un film ...
Scarlett Johannson dans Lost in Translation, c'est moi
Cette fille qui se sent seule parmi tout plein de gens, qui aime se poser dans un train, flaner dans les rues, et observer les gens, toutes leurs manies, leur façon de vivre si différente de la sienne, qui s'ennuie et ne trouve pas chaussure à son pied devant la bétise des autres, qui ne sait pas où aller, qui ne sait pas ce qu'elle va devenir, qui s'habille simplement et qui fait comme une tâche à côté des autres, qui est mélancolique, qui cherche quelquechose de nouveau dans sa vie, qui a l'impression de ne pas être acteur mais spectateur de sa propre vie ...
Voilà, elle, c'est moi.
Et ce soir, ce film me fait réfléchir ... Trop réfléchir ... Sur ma vie, ce qu'elle est, ce que je voudrai qu'elle soit, ce qu'elle risque d'être ... Sur mes erreurs, mes amis, mes choix, les choses qui m'énervent et pourquoi elles m'énervent, sur le masque que je porte quand je sors de chez moi ...
Et aussi, je me demande pourquoi je me pose toutes ces questions, pourquoi je ne peux pas m'empêcher de penser, de réfléchir, de tout décrypter, de vivre dans ce monde à part ...
Pas envie d'aller dormir ... De toute façon, je vais aller me coucher, et après ? Encore un jour comme les autres, une semaine comme les autres, qui va amener son lot de découragement, de tristesse, de stress, de lassitude, d'énervement, de flou total, d'ignorance, de repli sur soi, de volonté de tout envoyer balader, de crier, de m'échapper ...
Alors profitons de cette journée qui n'est pas encore finie, de cette semaine qui touche à sa fin, en restant le plus possible dans l'univers de ce magnifique film ... En espérant que je m'en sorte comme Scarlett à la fin ...
Sauf que le vie ce n'est pas un film
Pour la première fois, je me suis identifiée fortement à l'héroine d'un film ...
Scarlett Johannson dans Lost in Translation, c'est moi
Cette fille qui se sent seule parmi tout plein de gens, qui aime se poser dans un train, flaner dans les rues, et observer les gens, toutes leurs manies, leur façon de vivre si différente de la sienne, qui s'ennuie et ne trouve pas chaussure à son pied devant la bétise des autres, qui ne sait pas où aller, qui ne sait pas ce qu'elle va devenir, qui s'habille simplement et qui fait comme une tâche à côté des autres, qui est mélancolique, qui cherche quelquechose de nouveau dans sa vie, qui a l'impression de ne pas être acteur mais spectateur de sa propre vie ...
Voilà, elle, c'est moi.
Et ce soir, ce film me fait réfléchir ... Trop réfléchir ... Sur ma vie, ce qu'elle est, ce que je voudrai qu'elle soit, ce qu'elle risque d'être ... Sur mes erreurs, mes amis, mes choix, les choses qui m'énervent et pourquoi elles m'énervent, sur le masque que je porte quand je sors de chez moi ...
Et aussi, je me demande pourquoi je me pose toutes ces questions, pourquoi je ne peux pas m'empêcher de penser, de réfléchir, de tout décrypter, de vivre dans ce monde à part ...
Pas envie d'aller dormir ... De toute façon, je vais aller me coucher, et après ? Encore un jour comme les autres, une semaine comme les autres, qui va amener son lot de découragement, de tristesse, de stress, de lassitude, d'énervement, de flou total, d'ignorance, de repli sur soi, de volonté de tout envoyer balader, de crier, de m'échapper ...
Alors profitons de cette journée qui n'est pas encore finie, de cette semaine qui touche à sa fin, en restant le plus possible dans l'univers de ce magnifique film ... En espérant que je m'en sorte comme Scarlett à la fin ...
Sauf que le vie ce n'est pas un film