Samedi 12 juin 2010 à 19:10

Il faut voir le bon côté des choses

Je suis devenue maître dans l'art de cacher mes larmes

Enjoy

Samedi 12 juin 2010 à 13:41

C'est tout de même impressionnant de constater que j'ai vécu toute ma scolarité sans connaître les embrouilles et autres témoignages de la bassesse humaine. Ce n'est qu'arrivée en master que je l'ai rencontré. Quatre ans après le bac. A 22 ans. Il faut avouer que ce n'est pas banal. Selon ma logique, j'aurai plutôt pensé que plus on montait dans les années d'études, plus les gens devenaient intelligents. Ou tout du moins, moins bêtes. Je me trompais. Il faut croire que la bêtise humaine nous rattrape de toute façon. Que vouloir vivre sans se prendre la tête ce n'est pas possible, ce n'est pas écrit dans les grandes lignes de la vie. Il faut un moment ou un autre se confronter à l'absurdité des hommes.

 

Cette absurdité, je l'ai trouvé dans ma promo. En bac + 4. Des gens qui n'ont pas de vie, et donc qui ne peuvent s'empêcher de vouloir régenter celles des autres. Des gens qui ne se remettent jamais en question. Des gens qui vivent sous un masque, le plus beau et le plus difficile à percevoir, celui de l'hypocrisie. Des gens qui pensent avoir la science infuse. Des gens qui mentent, qui trichent, qui louchent sur le bonheur des autres. Des anti-thèses d'Amélie Poulain. Des gens qui ne supportent pas de voir qu'on peut vivre heureux sans eux.

Une belle bande de tartuffes sournois, fourbes, tortueux et torturés.

Que du bonheur.

Vendredi 11 juin 2010 à 1:16

Bon

Plus on avance, plus je suis sous le charme, moins je comprends

Quand on invite son ex à la même soirée que la fille que l'on est censé draguer, est-ce normal ?
Quand MT commence à se demander si on ne fait pas fausse route, est-ce normal aussi ?

J'ai dit que je ne me prenais pas la tête, donc je vais essayer de ne pas me prendre la tête ... N'empêche que ...

Il ne fait que des choses contradictoires, je passe de l'assurance au flou le plus total
Mais je n'ai pas envie de redevenir la cruche que j'étais avec S. Plus jamais ça
J'ai encore un minimum de fierté

Donc j'attends demain, samedi peut être, et je lui demande cash. Tant pis, on verra bien.

Ce fera mal c'est sûr, mais au moins je serai fixée.

Je ne suis plus à un refus près ...


Mercredi 26 mai 2010 à 10:52

Une des choses que j'aime le plus chez quelqu'un, c'est son sourire

Et lui, non seulement il a un sourire magnifique, mais en plus il n'hésite pas à s'en servir

Et le meilleur, c'est quand je me surprends à sourire en pensant à son sourire

:)

Mercredi 26 mai 2010 à 10:47



J'ai relu l'ensemble de mon blog, et je vois que finalement, il y a énormément d'hommes qui ont traversé mon quotidien ... Et à chaque fois, je me souviens que j'étais totalement folle, trop emballée, et pourtant, j'avais peur ... C'était assez étrange, mais c'était toujours la même chose ... Et ça ne marchait jamais

Bizarrement, avec lui, c'est totalement différent des autres. Je suis sereine quand je m'imagine avec lui. Je n'ai pas spécialement peur.
Et le pire, c'est que je pense que si je suis comme ça aujourd'hui, c'est à cause de l'autre pourriture.

Parce que à cause de lui, j'évite de m'emballer, car on ne sait pas si demain le poignard ne sortira pas me frapper dans le dos
J'évite d'avoir peur, parce que c'est la peur qui bousille les relations
J'évite de me projeter, parce qu'il faut savoir vivre au jour le jour

Mon mot d'ordre maintenant ? On verra
Alors qu'avant je passais des heures à me bousiller la santé en examinant méticuleusement tous les points et anecdotes qui me faisaient dire que blablabla (il suffit de voir les looongs articles que j'ai écrit à propos de S.) (pitoyable)

Même si au final ça ne marche pas, je serai triste, oui, parce que il me fait vraiment craquer, mais à force de me répéter qu'il est peut être un salaud comme l'autre, ça me permet de relativiser.

Mais j'espère vraiment que ça va marcher ... Tout le monde semble le penser, et moi aussi je me surprends à y penser.

Mais ce que j'aime chez lui, c'est qu'il prend les choses en main. C'est ça qu'il me manquait. J'ai toujours été amourachée de grands timides qui n'osaient pas plus qu'un coup d'oeil passionné (ou pas). Avec lui, c'est différent. Il ose aller vers moi, me montrer qu'il s'intéresse, il n'a pas peur de montrer ses sentiments
C'est ça qu'il me faut : quelqu'un qui me prenne la main, qui me fasse avancer sans peur. 
Pas quelqu'un qui me laisse me débrouiller toute seule et qui au final me balance une fois le travail fait.

En tout cas, j'ai vraiment hâte de la revoir, encore et encore ... On se sent plus à l'aise quand on sait que ce qu'on ressent est à double sens. Et pour ça, je ne le remercierai jamais assez.

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